Exile and the closed centre .


These privileged women were attacking the pettiness of these women of the people.

Refuse that I refuse to return to this country of shit and corruption, refuse that I fall into the mouth of these policemen "the wolves of the law", refuse that I give birth in this lake of crocodile; Juliette was lying on her bed and remembered her childhood. Now she was going to give life to a little being. This little one would grow up in a place of rights and prosperity and not in a country of garbage where the president acted as the guardian of the garbage. His father liked to tell him stories.


- Listen, kid," he used to tell her, "in the old days, the rich threw their garbage in a well-guarded place and there was a guard who was paid. This guy guarded the place well, but as the rich threw away more and more valuable things and canned food, he thought of taking them and selling them. The poor people who had nothing to eat got wind of this place, they ran to get something to eat and then they realised that the guy had armed a small gang who worked for him. They were forbidden to enter or they would be killed. But the poor guys were lurking around. They were unsuccessful. The man and his gang guarded their wealth fiercely. The only way the poor could get fed in this place was to arm themselves and kill the whole gang. Which didn't happen because the poor were physically and mentally weakened.


- So, she said, how did they get food?

- Nothing, they just looked around. From time to time, the gang would come and hit the most vulnerable.

To return, this word made her sleepless and she stayed awake all night. In truth, she was frightened at the very thought of being flown out by police.


Her lawyer had told her that there was no hope in the courts. He had exhausted all the remedies necessary to advance her case. To no avail. Her case lay dormant in the drawers of the lawmen who considered her as a person who could not benefit from a stay of execution.


 To be continued ...



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